Découvrez dans le témoignage de BDO pourquoi ils ont élargi leur offre de formation aux soft skills : des compétences essentielles pour les comptables et fiscalistes.
Un besoin croissant de formation aux soft skills
Contrôle de gestion, réalisation d’audit, tenue comptable… En travaillant dans un cabinet d’expertise comptable et de conseil, vos collaborateurs sont amenés à effectuer de nombreuses tâches techniques. Ainsi, il est important que votre Learning and Development repose sur un socle solide de formations techniques pour les aider à mener à bien leurs missions quotidiennes. Mais ces compétences « dures » sont-elles suffisantes pour garantir le succès de vos collaborateurs ? Qu’en est-il de leurs softs skills ? La gestion du temps, les compétences rédactionnelles, l’orientation client sont des compétences « douces » certes, mais nécessaires à l’épanouissement professionnel de vos comptables et fiscalistes.
Chez BDO, le Learning and Development n’est pas une nouveauté. Pourtant, comme bon nombre d’entreprises du secteur, BDO a longtemps priorisé les compétences techniques au détriment des compétences plus générales. À long terme, ce choix a engendré des lacunes chez ses collaborateurs. C’est donc pour remédier à la situation que BDO s’est tourné vers GoodHabitz, qui s’est avérée être une solution idéale pour élargir l’offre de formation déjà présente au sein du cabinet.
Élargir son offre avec les formations GoodHabitz
Avec des formations telles que « Gérer son temps », « Développer votre leadership », ou encore « Le projet parfait », BDO a pu rapidement agrandir son offre de formations aux soft skills, pour le plus grand bonheur de ses collaborateurs.
Le cabinet met en avant les formations GoodHabitz d’une manière bien spécifique. Chaque collaborateur est informé d’une formation spécifique de façon individualisée et quand il en a besoin, par exemple lors du processus d’onboarding ou au cours des plans de développement des équipes.
Et c’est un succès ! Les formations GoodHabitz suscitent de nombreuses réactions positives. Selon Hetty Peeters (Senior L&D Advisor), le fait que les collaborateurs échangent et se recommandent entre eux des formations permet une implémentation bien plus efficace qu’une communication descendante.